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Date de création : 29.05.2010
Dernière mise à jour :
12.12.2025
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merci pour ces magnifiques photos de cette 231 c jouef. http://reseau3 gg.centerblog. net
Par reseau3gg, le 11.12.2025
j'ai retrouvé l'annonce. cette machine a été bricolée. effectivement, les roues du bogie avant sont pleines. e
Par Christian COUHAULT, le 11.12.2025
précisions: un bissel comporte un essieux. un bogie deux. les 141p avaient un bogie bissel (zara). le châssis
Par Christian COUHAULT, le 11.12.2025
oui, c'est fan ac après vérification, la photo ne permettait pas de voir l'avant du bogie, une autre montre ef
Par reseau3gg, le 11.12.2025
je dirais même plus il n'y a plus de bogie . un bricolage de pseudo bissel avec des roulettes...il y a parfois
Par Christian COUHAULT, le 10.12.2025
affiche amis annonce argent arrière plan art article bande belle bleu blog bonne
ImagesObtenez un meilleur aperçu des petits détails en faisant un «clic» sur la photo..
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...Un petit retour en arrière, pour ceux qui ont bien connu les rames Standard de la gare Saint-Lazare. Magnifique reportage qui nous fait revisiter le trajet entre Paris et Saint-Germain en Laye.
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...Parmi la multitude de trains qui circulent chaque jour à la gare de PARIS SAINT-LAZARE, cette vidéo fait une large place aux rames Standard Z 1500 qui desservent la banlieue. Avant l'arrivée du RER, cette gare possédait le plus important trafic d'Europe, en heure de pointe, avec une cadence d'environ 1000 passagers à la minute.
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...Nostalgie du temps où ces rame de banlieue circulaient sur les lignes reliant la gare SAINT-LAZARE, avec ce bruit si caractéristique.
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...C’est dans un vacarme infernal que s’ébranle la rame Standard Z 1500, qui desservait tout le réseau banlieue Ouest, de PARIS SAINT-LAZARE à VERSAILLES RIVE DROITE, SAINT-NOM-LA-BRETECHE, SAINT-GERMAIN-EN-LAYSE (via NANTERRE LA FOLIE), MAISONS_LAFFITTE, ou PONTOISE entre autres. Mis en service en 1924, ce matériel dura jusqu’à sa réforme en septembre 1977. Les voitures étaient en tôle rivetée vert eau avec une bande jaune pour matérialiser le compartiment des premières, et cloisonnées en compartiments voyageurs et fourgon. Les voyageurs y accédaient par des portières coulissantes que l’on ouvrait soi-même, mais qui se fermaient brusquement en claquements successifs. Les unités comportaient une, deux, trois ou quatre rames d’une motrice et d’une remorque chacune. La propulsion se faisait par des moteurs électriques de 500 KW à courant continu de 750 volts, fourni par un rail sous tension parallèle aux rails porteurs, auquel s’agrippaient plusieurs frotteurs glissants. Il était mortellement dangereux de poser le pied sur le rail électrique !
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...Habitant MARLY-LE-ROI, je fréquentais beaucoup la ligne PARIS SAINT-LAZARE -SAINT-NOM-LA -BRETECHE, surtout dans les années 1960-1962 car j’étais scolarisé à PARIS. Après l’accélération du départ, le voyage se poursuivait dans un continuel mugissement métallique, ponctué de claquements secs, de secousses et du clignotement de l’éclairage lorsque le véhicule franchissait les aiguillages. Car les frotteurs quittaient un rail électrique pour en reprendre un autre au sortir de l’aiguillage. Plus le convoi accélérait, plus le bruit était fort, plus l’oscillation de la caisse prenait de l’amplitude, et le contrôleur-chef de train se déplaçait d’un pas incertain et dansant entre les travées (sièges de moleskine vert foncé à ressort, encadrés de bois verni) pour vérifier les titres de transport. Dans le compartiment-fourgon, je voyais les anneaux suspendus au plafond pour arrimer les colis de grande taille, se balancer presque jusqu’à l’horizontale !
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...Mais passé SAINT-CLOUD-, nous étions dans la campagne et nous pouvions admirer les prés, les champs, les maraîchers, des petits lotissements. Tout cela est aujourd’hui remplacé par l’extension des villes. À la sortie de LOUVECIENNES, la tranchée de PORT MARLY est surplombée d’un viaduc métallique constitué de croisillons rivetés en fer puddlé. Inauguré le 05 mai 1884, il a une longueur totale de 283 mètres sur une hauteur de 80 mètres, d’où se développe un panorama magnifique sur MARLY-LE-ROI, sa forêt et ses environs. À cette époque et pour des raisons de sécurité, ce viaduc n’était pas électrifié et la seule voie porteuse subsistait, posée sur des traverses de bois (longrines) fixées directement sur le tablier métallique. Le conducteur devait donc accélérer, et calculer sa vitesse et son élan pour parcourir le viaduc d’une traite sur toute sa longueur, et reprendre son courant de l’autre côté.
...Par une chaude après-midi de mai 1961, la rame où je me trouvais (deux voitures dont une motrice) a mal pris son élan, et est venue mourir au milieu du viaduc. Elle ne pouvait plus bouger ni pied ni patte, faute de jus ! Le contrôleur-chef de train, après nous avoirs interdits de descendre, a envoyé son conducteur chercher du secours. Lequel est parti à pied le long de la voie jusqu’à la prochaine gare, nous laissant cuire à bord sous le soleil. Une demi-heure après, une machine à vapeur 141 TD, préposée aux manœuvres dans le triage de MARLY-LE-ROI, est venue s’atteler à notre train, et nous a tractés à reculons jusqu’à la prochaine gare. Nous étions sauvés ! Voyager en Standard Z 1500 pouvait être une aventure.
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...Jean-Yves MARTY
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...Autour de la gare SAINT-LAZARE, ces rames de voitures voyageurs alimentées par "le troisième rail" desservaient la banlieue. Ceux qui ont connu cette époque se souviennent très bien, du bruit caractéristique produit par ces trains.
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...Bravo, que de souvenirs... même en l'absence du 3ème rail... Je pinaille, c'est vrai mais après avoir vu dans une expo le petit train jaune, on en deviendrait exigeant... Mais j'apprécie cette vidéo dans laquelle j'aurais aimé voir plus longtemps circuler la rame à quatre caisses...
...François LAISSY.
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...Les rames STANDARD Z 1500 étaient étudiées pour rouler en composition de deux unités. A Celle-ci pouvaient s'ajouter d'autres éléments de manière à former des trains de 4, 6 et huit voitures . Ici nous sommes en présence d'une composition assez classique de quatre éléments vue très souvent sur les lignes de la gare SAINT-LAZARE. (Dès que possible, l'idée de poser ce fameux troisième rail sur certaine partie du réseau, sera envisagée).
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...Dans la la série automotrice? ATLAS a eu la bonne idée de produire les rames "STANDARD" Z 1500. Une occasion de voir rouler ces trains qui faisaient partie au quotidien de la vie des banlieusards jusqu'en 1985 à PAIS SAINT-LAZARE.
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...Et maintenant, il faut adapter la hauteur de la remorque au même niveau que celui de l'automotrice chargée de la tracter. Pour cette opération, l'idée de placer un châssis complet de voiture ROMILLY sous la caisse a été abandonnée (Consulter en marge la rubrique "VOLET RAME STANDARD 1500 Z")..
...Dans le stock des pièces détachées, se trouvaient deux bogies de voitures CIWL. Aussitôt l'aménagement interne des voitures ATLAS a été percé de façon à recevoir à chaque extrémité les porte-essieux.
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...Puis un lest a été ajouté sous la caisse pour porter le poids du véhicule à 97 grammes (contre 102 pour la remorque de la première rame), cette opération a pour effet d'améliorer le roulement du véhicule. Désormais l'aménagement interne de la remorque se positionne à raz de la caisse, alors que le châssis des voitures ROMILLY dépassait d'au moins deux millimètres le bas de la caisse, surélevant d'autant l'ensemble par rapport à la voie.
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...Cette seconde rame STANDARD" (toiture teinte rouille), ainsi présentée, se rapproche davantage des normes en vigueur pour un aspect plus réaliste.
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...Lorsque la conception de l'automotrice "STANDARD Z 1500" a été annoncée par ATLAS, le désir de posséder ce modèle et de le faire rouler a été plus fort que tout. Un coup de coeur inexplicable pour cette rame de banlieue. Ceux qui ont eu l'occasion de l'emprunter, savent que ces moments sont inoubliables.
...Après plusieurs tentatives, on a vu qu'une de ces rames circulait parfaitement sur le réseau. Aujourd'hui, l'idée d'en posséder une seconde a fait son chemin, avec pour mission de baisser encore la garde au sol. Le plus compliqué étant d'arriver à trouver les deux voitures, surtout celle de seconde classe, pratiquement introuvable.
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...Pour les visiteurs, curieux de savoir comment ce second modèle a été conçu, voici quelques photos. C'est toujours le choix d'un moteur d'autorail ELECTROTREN qui est retenu. (Mais celui-ci est dépourvu de son système d'éclairage). L'objectif étant de diminuer la hauteur de l'automotrice par rapport à la voie, le moteur a été positionné plus profondément à l'intérieur de la caisse. Photo ci-dessus, il est facile de comprendre comment a été fixée la motorisation, ainsi que le lest et la platine retenue naturellement par l'échancrure des portes.
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...Maintenu par une vis, l'aménagement interne reprend sa place d'origine, et le second bogie peu à son tour être refixé sous le châssis.
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...Concernant la première rame, la peinture de la toiture était de couleur "gris foncé". Cette fois-ci le choix s'est porté sur une teinte "rouille". Une couche de peinture TAMIYA FX 9 fait parfaitement l'affaire. Puis une pellicule de laque est déposée sur la toiture pour fixer la "terre à décor noire" déposée généreusement à l'aide d'un pinceau. Lorsque la poudre donne l'effet escompté, une couche de vernis en aérosol vient terminer le travail.
...Il ne reste plus qu'à faire de même avec la remorque, cette dernière devant se positionner à la même hauteur que l'automotrice.
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...La garde au sol de l'automotrice STANDARD Z 1500 a été revue à la baisse, mais au dépend des flancs de bogies. On ne peut pas tout avoir ! mais on a pas encore renoncé.
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Le grand retour de la circulation des trains sur le réseau.
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...Pas facile d'installer une morotisation autre que celle prévue par atlas. Le châssis métallique ne se prête pas facilement à des transformations, le manque de place à l'intérieur de la caisse causé par les ouvertures de portes encastrées à l'intérieur, tout ceci est autant de problème à résoudre.
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